Exposition Virginie Piotrowski à l’espace Vallès

Des trous dans ses murs, dessins et installations
Virginie Piotrowski
Exposition du 8 juin au 8 juillet 2023
Vernissage jeudi 8 juin à 18h30

Nature morte avec un mouton qui a perdu la tête, 2021, graphite et gouache sur papier, 60x45cm. Coll. Artothèque d’Annecy

Virginie Piotrowski trouve une beauté à ces lieux, à ces objets dont la qualité et l’aspect ne correspondent pas aux critères esthétiques habituellement en vigueur. Elle se dit attentive particulièrement aux zones périurbaines, aux lotissements pavillonnaires, aux terrains vagues, aux chantiers inachevés. « Je m’intéresse aux entre-deux, là où la nature et l’architecture se mélangent, où l’une n’a pas pris le pas sur l’autre. De même les endroits où l’on travaille, car je suis sensible à labeauté des formes pratiques. » Ces lieux sans éclat, ces objets dépréciés, elle les dessine (au crayon, parfois avec un peu de gouache) seuls, dégagés de toute présence humaine, avec une exigence de précision technique et une minutie telles qu’elle les rend ainsi dignes d’être regardés, leur conférant par là une existence remarquable. Sans aller jusqu’à le sublimer, ses dessins éclairent ce qui restait dans l’ombre, quasi invisible car ignoré, sans intérêt car dédaigné. (…)
Jean-Pierre Chambon in Périphériques  n° 100 (p. 22)

Plus d’infos…
https://virginie-piotrowski.fr

Exposition Guilhem Jadikan au VOG Fontaine

Dimensions lumière, Guilhem Jadikan
Exposition du 20 mai au 8 juillet 2023
Vernissage le samedi 20 mai à 16 h.

Pionnier de la technique du lightpainting, ce photographe utilise des outils lumineux qu’il fabrique pour transformer les paysages, qu’ils soient urbains ou naturels.

Jadikan s’intéresse à la photographie depuis l’adolescence mais c’est en 2005 qu’il réalise ses premières photographies avec traînées lumineuses. La technique qu’il utilise, le lightpainting,  se pratique dans le noir. Les effets lumineux transforment les paysages les rendant poétiques et propices à l’imaginaire.

Des paysages réenchantés

Au VOG, les œuvres de Jadikan sont présentées sous le titre Dimensions lumière.

Dans son travail, Jadikan explore le paysage comme un sujet propice à l’imaginaire, jouant avec les différents éléments tels que la brume, la neige ou l’eau pour travailler la diffusion et la réflexion de la lumière et créer des scènes cinématographiques. Certaines images sont visibles en 3 D (grâce à des lunettes stéréoscopiques), des vidéos et des œuvres hybrides sont également exposées.

Pour réaliser la série de photographies intitulée Phénomène Jadikan a cherché dans les massifs alpins autour de Grenoble des lieux éloignés de toute présence humaine.  En journée il fait des repérages et dès la tombée de la nuit il fait évoluer son drone équipé de poudre inflammable. Les éclats des feux d’artifices tombent sur le sol et réenchantent le décor. Sur chaque image on peut suivre un cercle de feu qui se ballade de paysages en paysages et les métamorphose en des lieux inconnus et lunaires.

Dans l’exposition, seront également présentées des photographies en relief stéréoscopique. À l’aide de visionneuses équipées de lentilles, le spectateur peut découvrir à sa guise les œuvres comme des dioramas miniatures, pour pénétrer un univers mystérieux et extraordinaire

Exposition Nature fantôme au château de la Veyrie

Le château de la Veyrie accueille pour la huitième année consécutive une exposition d’art contemporain. Cette année l’exposition fait une large part aux matières textiles au travers d’installations auxquelles répondent des œuvres picturales et photographiques émanant de sept artistes Grenoblois et Isèrois, (dont certains ont été contactés par les amis du Magasin dans le cadre des visites d’atelier en cours de programmation).

Artistes participants : Jean-Pierre Angei, François Calvat, Delphine Caraz, Jean-Frédéric Coviaux, Rébecca Fabulatrice, David Lefebvre, Patricia Pinzuti – Gintz.

Commissaire d’exposition : Gilles Fourneris

Vernissage jeudi 11 mai 2023 à partir de 18 heures.

Exposition Christine Coblentz à la galerie Ex Nihilo

2015 Magasin ©Christine Coblentz

Exposition n’en fais pas une histoire…
du 8 mars au 8 avril 2023, du mercredi au samedi, de 15h à 19h.
Galerie Ex Nihilo, 8 rue Servan à Grenoble

n’en fais pas une histoire…

 « Il paraît que certains artistes ne développent obstinément qu’une seule idée dans leur vie ; ils la présenteraient sous différents aspects… C’est peut-être mon cas. Ordre et désordre, cycle vie et mort, la poussière qui prend forme pour redevenir poussière, l’instant d’après ou dix mille ans après, ordonner mon désordre ou celui de la poussière ? »

Le chemin artistique de Christine Coblentz n’a pas débuté en école des beaux-arts, (elle sera professeur de lettres), mais à travers cours du soir, ateliers de peinture, nombreux voyages culturels à la découverte des musées en France et à l’étranger…  qui l’ont amenée à élaborer une écriture créative multiforme.  Dessin, peinture, sculpture et photographie se sont affirmés en parallèle. Les différentes techniques s’articulent et dialoguent au gré de nombreuses expositions. 

Christine Coblentz s’attache souvent à la métaphore du tissage pour décrire son travail dans la durée : des fils qui s’entrecroisent et s’emmêlent d’une manière aléatoire. Se créent des nœuds, des intersections, des convergences…

La photographie… comme une variation de l’empreinte rejoint l’estampage

« La photographie est arrivée insidieusement dans mon travail. Pour une utilisation pratique d’abord : enregistrer des documents. Puis rapidement, pour ses infinies possibilités. Ce n’est pas la technique qui m’intéressait, mais bien l’ajustement des résultats à l’expression de mes obsessions. Jouer avec l’aléatoire, conserver les « défauts » quand ils introduisaient une dérive dans la lecture de l’image, découvrir les correspondances avec l’estampe dans le bain « révélateur » et bien sûr jouer avec une vraie ou une fausse mémoire…Recréer un autre univers s’éloignant de la réalité… »

Le regard photographique exprime une nécessité absolue d’immortaliser l’éphémère, de prolonger la vie et fixer le temps. Un aller et retour entre la vie et la mort. Une sorte d’archéologie. Conserver une trace. Peintures et dessins sont revisités par l’objectif de l’appareil. La photographie permet le focus, le grossissement, le recul, la mise en scène d’un détail.  « Ma façon de photographier était comme pour le dessin, une démarche faite d’hésitations, d’éloignement du sujet, de retours en arrière, de tâtonnements, de lenteurs et parfois d’évidences. »

L’artiste a photographié paysages et lieux en perpétuelle transformation ou voués à la destruction: le Magasin (CNAC) en train de se construire, Valisère une ancienne usine, la montagne de gypse de Mazan lui rappelant l’un de ses dessins imaginaires, les carrières de sable de Bédoin dans le Vaucluse …

 « Les états de choses » successifs, en référence au titre d’une exposition, s’opèrent aussi avec la matière vivante : des poivrons desséchés, en se décomposant, deviennent petits points de poussière et au travers de la photographie se transforment en un paysage ou une ligne d’horizon sur papier. La grenade, fruit du grenadier, se momifie dans son vieillissement et prend des formes singulières, les nuances d’ocre très prononcées rappellent la couleur des sables du Vaucluse. Quant à la betterave pourrissante, elle se métamorphose en objet non identifié… 

Changer de regard, donner une nouvelle vie et créer un nouveau sens. En une relecture permanente, travaux anciens et œuvres plus récentes se côtoient et prennent une résonance nouvelle croisant son parcours de vie.

Anne-Marie Guigue, mars 2023
https://christinecoblentz.com

Performance de Rebecca Bellantoni avec Rowdy SS

Perpetual disclosure. Deep topography. Revelation (CMYK)

Le 11 mars 2023, à partir de 18h30

  • Entrée libre
  • Performance suivie d’un cocktail et visite nocturne de l’exposition collective La Position de l’Amour
  • Tout public.

Performance

Pour clôturer l’exposition La Position de l’Amour, le Magasin CNAC  vous présente la première et unique date en France de Rebecca Bellantoni. Cette nouvelle performance spécialement conçue sur invitation du Magasin CNAC avec le soutien de Fluxus Art Projects.

Nouvelle étape importante du travail de l’artiste, ce projet intitulé Perpetual disclosure. Deep topography. Revelation (CMYK) invite les esprits, les âmes et les corps à se fondre dans la ville et nous convie à embrasser une relation de réciprocité avec notre environnement, ses matériaux, ses habitants et habitantes, et ses histoires — passées, présentes et futures.

Considérant les potentiels métaphysiques de nos contextes urbains, cette performance est pensée comme une invitation à s’ouvrir davantage à la spiritualité quotidienne.

L’artiste sonore Rowdy SS accompagne Rebecca Bellantoni et le public tout au long de cet itinéraire dans une expérience sonore, vibrant à travers et avec les corps, amplifiant les pensées, émotions et imaginations régénératrices.

Née à Londres, Rebecca Bellantoni est une artiste d’origine caribéenne dont le travail explore et traduit les événements du quotidien à travers le prisme de l’écriture des femmes noires (fictionnelle et non fictionnelle), de la métaphysique, philosophie, religion et spiritualité, ainsi que de l’esthétique qui se rattache à elles. Sa pratique artistique inclut tout autant l’image en mouvement, l’installation, la performance, la photographie, les textiles, la gravure, la sculpture, la verrerie, les textes sonores, que la céramique. Elle étudie les notions de « réel » accepté, attendu, ou expérimenté, en réfléchissant aux moyens possibles de rompre les frontières qui les séparent.

Né et basé à Londres, Rowdy SS est un artiste qui travaille sur l’intersection entre le son, la musique, la danse et le mouvement. À travers des performances, des happenings et des installations, il sonde et façonne nos relations avec l’espace. Ses oeuvres enchevêtrent, et parfois simplifient, les façons dont nous utilisons notre physicalité et la technologie pour communiquer spatialement. 

Présentation et lecture du livre Les lettres ordinaires à la librairie Les Modernes

Présentation et lecture du livre Les lettres ordinaires d’Adrianna Wallis et Arlette Farge

Jeudi 16 mars à 19h
à la librairie Les Modernes, 6 rue Lakanal à Grenoble
Entrée libre


Conçu comme une ultime œuvre qui revient unifier et enrichir l’ensemble du projet éponyme d’Adrianna Wallis, l’ouvrage réunit des fragments de lettres, son travail de plasticienne, et plusieurs récits et réflexions : son journal, qui chronique cinq années de création, cheminement et pensées, des réactions de spectateur‧trices, de Liseur‧ses, et le texte réflexif de l’historienne Arlette Farge inspiré de « ce monde en rebuts, inconnu de tous et si signifiant. »
En 2016, Adrianna Wallis s’est interrogée sur le destin des lettres ordinaires qui ne peuvent atteindre leurs destinataires en raison des erreurs d’adressage. Ce projet l’a conduite à Libourne dans le centre dédié de La Poste où les employé‧es ouvrent les plis à la recherche d’indices leur permettant de retrouver l’expéditeur‧trice ou le destinataire. Entre 2017 et 2020, plutôt que de les envoyer au recyclage, la Poste lui a réexpédié des dizaines de milliers de lettres perdues à partir desquelles elle a produit un ensemble de travaux, performances et expositions.

Le livre sera disponible à la librairie, il peut aussi être commandé en ligne.

Les Lettres ordinaires

Adrianna Wallis, Arlette Farge

Il arrive que des lettres ordinaires, une fois expédiées, ne puissent être acheminées faute d’adresse exacte. Ces lettres sont alors envoyées à Libourne, dans un centre dédié de La Poste, dont les employés ouvrent les plis à la recherche d’indices leur permettant d’en retrouver l’expéditeur ou le destinataire. Parfois, ces recherches échouent…

C’est dans ces courriers d’inconnus et d’anonymes qu’Adrianna Wallis, avec l’accord de La Poste, s’est plongée. À partir de dizaine de milliers de lettres datant de 2016 à 2020, l’artiste a produit un ensemble d’œuvres, de lectures et de performances permettant de faire entendre ces morceaux de vie.

En explorant, à l’invitation de l’artiste, cette matière « ordinaire », l’historienne Arlette Farge révèle tout un monde d’espoir, de regrets, de déchirements, empli de cris d’amour ou de haine. Ce sont les mille et une histoires de ces lettres perdues, à la fois fascinantes et bouleversantes, qui revivent sous nos yeux, comme pour ne pas disparaître tout à fait.

Exposition Léa Habourdin à la Halle de Pont-en-Royans

Images-forêts : les persistantes
Léa Habourdin

Exposition du 21 mars au 27 mai 2023
Vernissage samedi 18 mars à 18h

En partenariat avec la Villa Glovettes

Léa Habourdin est photographe. L’objectif de sa caméra se pose sur des êtres menacés et des espaces sauvages en Europe. Cette sensibilité accrue pour ce qu’il reste d’intouché et pour les formes des vies évoluant hors de portée humaine, prend la forme de séries de photographies qui enquêtent sur les liens entre l’homme et l’animal, la survivance et la résilience des espèces. Dans ce spectre large du vivant, Léa Habourdin a choisi aussi bien de suivre les traces de rapaces sauvages ou de pigeons voyageurs, que de capter en image des campagnes aux modes de vie désuets ou encore des milieux naturels vulnérables, à préserver.

Depuis 2019, elle explore les forêts intouchées de France avec des chercheuses et chercheurs. Ce corpus d’œuvres, Images-forêts, questionne aussi bien la précarité de ces écosystèmes que le défi (sociétal) que représente leur existence et persistance. Sans négliger l’impact environnemental de sa propre production, l’artiste s’est engagée à tirer ces images uniquement avec des pigments naturels ou avec des techniques anciennes, l’anthotype en particulier.
Cette série se poursuit en 2022-23 grâce à la résidence dans le Vercors où Léa Habourdin a poussé ses recherches dans les bois avoisinants. Ici, elle a ouvert son répertoire à des forêts à caractère « naturel » et « personnel », c’est-à-dire non classées comme telles par les scientifiques, mais portées à ce rang par les gens qui les fréquentent. En découlent des images sur textile, teintes avec les plantes locales, à l’apparence douce et intime. Dans l’exposition, le public découvrira alors différentes photographies, certaines presque impalpables ou véritablement éphémères, d’autres plus matricielles et matérielles, aux couleurs de garance, de charbon ou encore de millepertuis. En donnant à voir ces zones sensibles et fragiles, ce sont des milieux de résistance aussi bien que de poésie que l’artiste offre aux visiteuses et visiteurs.

Biographie de l’artiste 

Née en 1985 dans le nord de la France, Léa Habourdin a d’abord étudié l’estampe à l’école Estienne puis la photographie à l’école d’Arles. Attentive à la diversité des formes de vies, sa pratique veut dessiner d’autres manières d’entrer en résonance avec les mondes. Elle observe le rapport que nous entretenons aux autres animaux, aux paysages et convoque les notions de survie, de fracture, de reconstruction pour recomposer une autre vue de ce que nous appelons « le sauvage ». Explorant des champs tels que l’éthologie, la recherche en science appliquée ou encore la botanique, elle déploie un travail en dessin et photographie où la place du livre et de l’objet imprimé est cruciale.

Son travail a été récompensé de nombreuses fois, elle a été notamment lauréate de la Carte Blanche PMU – le BAL en 2015, de la bourse de recherche du CIPGP en 2019, et de la bourse d’aide à la création du CNAP en 2020. Son travail a été montré dans plusieurs festivals : Photo Phnom Penh au Cambodge, Lianzhou festival en Chine, Photo Saint Germain à Paris, Les Rencontres de la photographie d’Arles…

En 2018 elle expose « Survivalists » au Musée GoEun en Corée du Sud et profite de l’ouverture de l’exposition pour lancer sa maison d’édition : Mille Cailloux (qu’elle dirige à présent avec Jessica Martinato) où l’acte d’éditer sera pensé comme une pratique artistique.

Plus d’infos…

Vacances de février 2023 • ateliers jeunes publics au Magasin

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Vacances de février 2023

Dans le cadre de l’exposition La position de l’amour, ateliers jeunes publics, conçus & mis en œuvre par Alix Cerezal Orellana

Lectures costumées
Du 11 au 19 février à 11h • Durée : 45 minutes • âge : 3-6 ans (enfant + accompagnant·e) 
Lecture contée & performée en costume des livres :
  • 11 févrierJulian est une sirène de Jessica Love, devant l’oeuvre de Célin Jiang
  • 15 févrierNina de Alice Brière Haquet, devant l’oeuvre de Ufuoma Essi
  • 18 févrierLes Maudits de Jérôme Peyrat, devant les oeuvres de Anna Solal
  • 19 févrierPas-Du-Tout-Un-Carton de Antoinette Portis, devant l’oeuvre de Alvaro Urbano.


Parures de paillettes et de papier
11 février à 14h • Durée : 2 heures • âge : 6 à 10 ans (enfant + accompagnant·e) 
Création de tenues et bijoux avec des papiers et accessoires brillants, et défilé/danse dans la rue intérieure.
En lien avec les œuvres de Célin Jiang et de Rosie Hastings & Hannah Quinlan.


L’empreinte des choses trouvées
Les 18 et 19 février à 14h • Durée : 2 heures • âge : 6-17 ans (enfant/ado + accompagnant·e) 
Réalisation de cartes et poster en cyanotypes sous la verrière de la rue, à l’aide d’objets trouvés dans les poches des participant-es et de matériaux de récupération.
En lien avec les œuvres de Rebecca Bellantoni et de Anna Solal.


Discussion philo sur l’amour et confection de zines
15 février à 14h • Durée : 3 heures • âge : 12-17 ans (ado sans accompagnant·e) 
Découverte de l’exposition et discussion/goûter philosophique, échanges libres autour de la question de l’amour sous toutes ses formes, en appui à celles soulevées par l’exposition, et confection d’un zine en collages. En lien avec le titre de l’exposition et son contenu général.

À propos de l’artiste invité
Diplômé de l’Ecole Supérieure d’Art et Design de Grenoble en 2021, Alix Cerezal Orellana se définit comme un artiste factotum. C’est à travers des médiums toujours renouvelés – performance, recherche scientifique, vidéo, édition, ateliers de transmission – qu’il cherche à mettre en lumière la multiplicités des façons d’être, à créer de nouveaux récits de soi et à apprendre ceux de nos ami·e·s du passé. Son travail célèbre la créativité de genre comme une démarche engagée et spontanée, vers une révolution chatoyante, un carnaval perpétuel.

Plus d’infos…

Tarifs :
8€ tarif plein 5€ tarif réduit (minima sociaux)
Le tarif inclut l’atelier pour 2 personnes enfant + accompagnant‧e.
Pour l’atelier sans accompagnant Discussion philo sur l’amour et confection de zines
il inclut l’atelier pour un·e ado et 1 entrée gratuite à l’expo pour une tierce personne.

Réservations
Réservations dans la limite des places disponibles :
reservation@magasin-cnac.org ou
04 76 21 95 84

Assemblée générale 2023

Après la réussite de l’inauguration du Magasin le 18 novembre, le temps est venu de reconstruire l’association des Amis du Magasin.

Aujourd’hui , Céline Kopp a affirmé au bureau de l’association son total soutien aux objectifs définis par nos statuts. La gratuité de l’entrée au Magasin, pour les adhérents, est en application depuis la réouverture du lieu.

Il nous appartient à chacun·e de contribuer à faire revivre notre association par de multiples initiatives (visites d’ateliers d’artistes, voyages, conférences, participation aux projets du Magasin…)

Si vous lisez cet article, nous vous invitons à adhérer à l’association par courrier (voir sur ce site la rubrique adhésions) ou directement à l‘accueil du Magasin lors de leur prochaine visite. Ceux qui ont récemment adhéré peuvent retirer leur carte d’adhérent à l’accueil du Magasin

Dès que vous aurez adhéré vous êtes bienvenu·e à l’assemblée générale qui se tiendra mardi 17 janvier dès 17h (car le Magasin ferme ses portes à 19h).
Merci d’appeler vos proches à adhérer et venir à l’AG.

Joyeuses fêtes !

Pour le bureau
Édouard Schoene, secrétaire

Renaissance de l’association

Nous étions nombreux vendredi pour la réouverture festive du Magasin.
Notre association félicite Céline Kopp, directrice du Magasin et son équipe, tous les artistes qui ont engagé la saison autour de la programmation « la position de l’amour ».

Le vernissage fut une réussite.

Notre association a eu le plaisir de recueillir des dizaines d’adhésions et réadhésions, autant de marques d’intérêt pour la réouverture du CNAC de Grenoble et pour les futures initiatives de l’association. 

Nous remercions celles et ceux qui ont dit oui au soutien au Magasin.
Nous appelons les lecteurs de ce petit mot à adhérer aux Amis du Magasin

Notre bureau (quatre d’entre nous) va rencontrer très prochainement la direction du Magasin puis convoquer une assemblée générale pour qu’ensemble nous construisions l’avenir de nos activités auprès de l’équipe du Magasin.

Vous pouvez d’ores et déjà nous faire part de vos attentes et propositions.
Tout est à construire.
Vous pouvez également contribuer à élargir notre association en invitant à adhérer.

Très cordialement

Le bureau des Amis du Magasin