Exposition What a wonderful world, Pascale Parrein
Exposition du 7 septembre au 12 octobre 2024
Vernissage le samedi 7 septembre à 16h
Rencontre avec Pascale Parrein vendredi 13 septembre à 17h
Conférence de Fabrice Nesta Le noir est une couleur samedi 28 septembre à 16h.
Pascale Parrein est née en Normandie. Elle s’est installée à Fontaine depuis 2003 après avoir vécu à Paris, Edimbourg, Québec et Orlando. Elle a suivi les cours des Beaux-Arts de Rouen (1990-1992), puis a étudié les arts visuels à l’université Paris I-La Sorbonne (1992-1994). Au cours de cette même période, elle obtient une maîtrise en physique fondamentale et un doctorat en optique de l’université Paris XI. Elle a toujours travaillé parallèlement dans les deux domaines établissant parfois quelques connections entre eux.
Son travail a été sélectionné dans de nombreuses manifestations internationales d’estampes et de dessins depuis 1994. Elle a aussi tissé des liens durables avec plusieurs galeries qui présentent régulièrement son travail.
Ses projets artistiques s’articulent autour de trois thèmes principaux, évoluant au fil du temps. Fascinée par les formes de la nature, elle cherche à offrir une nouvelle perception de celle-ci en intégrant la science et la technologie. Ses paysages, inspirés de promenades dans des étendues sauvages et de ses voyages, oscillent entre figuration et abstraction. Les représentations humaines, quant à elles, s’intéressent aux anonymes et mettent en lumière la fragilité de l’existence humaine.
Utilisant principalement le dessin et la gravure, chaque œuvre de Pascale Parrein est une rencontre entre l’abstrait et la figuration, où les formes épurées et les couleurs, souvent monochromes, invitent à dépasser l’image pour développer tout un imaginaire. L’approche figurative ouvre les portes de la narration, alors que les éléments graphiques et abstraits représentent ce qui est invisible, ressenti ou non- dit. Ses œuvres nous questionnent également sur la fugacité, l’instabilité et la fragilité de la vie.
Le noir, avec ses différentes textures et tonalités, occupe une place centrale dans son travail. Dans ses œuvres, elle joue avec les états d’avancement et de destruction, notamment à travers la gravure qui révèle les traces des différentes étapes de réalisation.
Au VOG, elle présente son exposition intitulée – What a Wonderful World, un volet visuel d’un projet réalisé avec le trio de jazz Joséphine (l’Oreille en Friche) autour de l’iconique Louis Armstrong.
Des dessins fixes et animés accompagnent les compositions du trio, racontant la vie incroyable de ce musicien ainsi que l’histoire de l’Amérique du XXe siècle, marquée par la ségrégation, la misère sociale et les paysages industriels dévastés qu’Armstrong a traversés lors de ses tournées. Le noir, riche en nuances et en grains comme la voix de Louis Armstrong, un noir illuminé par la musique. Cet hommage célèbre non seulement ce musicien qui a su traverser les époques, mais aussi la musique elle-même, qui transcende les réalités parfois sombres de notre monde.
Plus d’infos…
Ciné-conférence à Mon Ciné-Espace Vallès avec le soutien de l’association les Amis du Magasin
Jeudi 20 juin 2024
• 19h Conférence de Fabrice Nesta en résonance avec le film, dans la salle de cinéma (entrée libre). Suivie d’un pot à l’espace Vallès.
• 20h45 Projection du film L’homme qui a vendu sa peau, de Kaouther Ben Hania
avec Yahya Mahayni, Dea Liane, Koen De Bouw (Tunisie – 2022 – 1h48 – vost)
Sam Ali, jeune syrien sensible et impulsif, fuit son pays pour le Liban afin d’échapper à la guerre. Pour se rendre en Europe et vivre avec l’amour de sa vie, il accepte de se faire tatouer le dos par l’artiste contemporain le plus sulfureux au monde. En transformant son corps en une prestigieuse œuvre d’art, Sam finira toutefois par découvrir que sa décision s’est faite au prix de sa liberté.
13 pi, tour de piste exposition de Céline Chicote, à la Théorie des Espaces Courbes, à Voiron
Exposition du 17 février au 17 mars 2024, les mercredi vendredi samedi et dimanche, de 14h30 à 18h
Vernissage le samedi 17 février à partir de 18 heures
Rencontre avec l’artiste le dimanche 18 février de 10h à 12h, elle y évoquera son parcours et développera les raisons du travail très particulier qu’elle a imaginé pour la TEC
Conférence de Fabrice Nesta : La peinture dans tous ses états dimanche 17 mars de 10h à 12h.
Céline Chicote nous invite à voyager dans une toile de 42 mètres de long, l’équivalent d’un tour de piste de cirque. En effet, quels que soient le lieu de la représentation et le nombre de spectateurs, le diamètre de cette piste sera toujours de 13 mètres. Il est lié à la longueur de la chambrière de l’écuyer‧e qui, placé‧e au centre, dirige l’allure des chevaux.
Cette constante permet aux artistes de garder des repères immuables dans le temps et dans l’espace.
Aussi immuable que la nécessité pour les humains de se déplacer, comme le font les peuples nomades et les circassiens.
La question du déplacement est centrale dans ce travail : Il ne s’agit pas de regarder une succession d’images, mais d’évoluer à l’intérieur de cette peinture, où les personnages en mouvement font écho à notre propre mouvement et d’accéder, par cette expérience intime, à une forme d’universalité.
Céline Chicote vit à Toulouse, elle expose généralement dans des lieux ouverts au grand public.
Sa pratique artistique fait autant appel au travail manuel et à un savoir-faire transmis, qu’au travail intellectuel propre à la création artistique.
Elle fabrique des images pour représenter le corps et son mouvement dynamique. Les temps de réalisations sont visibles dans sa peinture, tout est encore présent, le fond, le crayon, l’ébauche, les différentes matières. Elle transforme et redonne à voir des moments arrêtés, souhaitant retenir ces instants suspendus tout en captant le mouvement et ses contradictions : l’acharnement et l’abandon, l’équilibre et le déséquilibre, la soumission et la confiance, l’apparence et la réalité.
Les modèles qui inspirent son travail sont issus de la danse et surtout du cirque contemporain.
https://www.instagram.com/celine.chicote/
En complément, vous pouvez consulter l’article d’Édouard Schoene sur la rencontre du 18 :
https://travailleur-alpin.fr/2024/02/22/voiron-immense-toile-de-celine-chicote-exposee-a-la-tec/
La Théorie des Espaces Courbes
13 avenue Gambetta, 38500 Voiron
06 62 56 71 04
contact@la-tec.fr
Les Amis du Magasin inauguraient le 25 novembre au Magasin leur première « rencontre apéritive des amis du Magasin ». L’objectif de ces rencontres est d’inviter à débattre autour d’une personnalité, d’un sujet.
Ce rendez vous s’est organisé autour d’Hubert Gaillardot, ami du Magasin qui nous contait il y a quelques mois :
« En fouillant dans mes archives j’ai découvert un document que j’avais réalisé pour la Municipalité de Grenoble de l’époque, et dont le titre était : UN GRAND PROJET A VOCATION NATIONALE ET INTERNATIONALE A GRENOBLE POUR LES ARTS PLASTIQUES ET LA CRÉATION CONTEMPORAINE »
Devant une vingtaine de participants, le récit de cet événement a été présenté par l’un des acteurs de cette rencontre de janvier 1983 avec en introduction quelques rappels historiques d’Agnès Bourdais, liés aux années 80 et à l’avènement d’une politique culturelle forte (culture : 1 % du budget de l’Etat).
Urbaniste, je travaillais à l’agence d’urbanisme de Grenoble, sur le POS (plan d’occupation des sols) et sur l’aménagement de la caserne.
Au début de l’année 1983 se profile une rencontre ville de Grenoble-Ministère de la Culture dont l’objet est d’examiner le devenir du musée de peinture et la perspective d’un centre d’art contemporain.
Hubert Gaillardot nous montre le document qui a été produit pour cette réunion. Il précise :
Il ne reste à ma connaissance aucune trace de ce document, qui n’a pas été archivé.
Cette réunion a été programmée dans un délai très court ce qui fait que nous avions quinze jours pour imaginer à quelques un des emplacements possibles pour un futur musée de peinture avec des idées de volumes de bâtiments pour 30 000 m² de plancher.
Depuis longtemps la ville de Grenoble voulait un nouveau musée. En 1971 fût envisagé un projet de nouveau musée sur la plateforme sommitale de la Bastille, projet très vite enterré vus les coûts énormes.
Jusque dans les années 60 le musée de Grenoble avait la plus belle collection d’art moderne de France, le premier musée de France à avoir acquis un Picasso (en 1921).
Dans cette réunion tenue il y a quarante ans, deux positions différentes s’affrontaient.
Le ministre Jack Lang cherchait quelque chose d’emblématique en province, le fameux CNAC (centre National d’Art Contemporain). L’équipe municipale de Grenoble (Hubert Dubedout maire) défendait l’idée d’un lieu unique pour un espace regroupant un nouveau musée et un CNAC avec un seul directeur, un service d’accueil,… Il fut même imaginé de maintenir le musée place de Verdun et d’implanter le CNAC sur l’espace du Ministère des Armées à proximité.
MM. Rizzardo, adjoint à la culture et Pierre Gaudibert, directeur du musée étaient prêts à donner la collection du musée à l’Etat si le financement du nouveau complexe musée-CNAC était financé par État au niveau de 80%. La réponse du ministère a été nette : un musée national ne peut être qu’à Paris. Pourtant le prix du m² à Paris était dix fois celui de Grenoble.
Aucune décision claire n’est sortie de la réunion .
Quelques mois plus tard les élections municipales du printemps ont marqué la fin de l’équipe municipale de gauche, battue par la liste conduite par M. Alain Carignon.
L’échange qui a suivi a permis d’évoquer la création du Magasin, son ouverture en 1986, quelques personnalités qu’a bien connu Hubert Gaillardot dont Jean Verlhac, adjoint à l’urbanisme et Pierre Gaudibert, sociologue de l’art, directeur du musée.
La rencontre s’est terminée autour d’un buffet alimenté par les participants
Assemblage
Denis Arino
Exposition du 19 novembre au 23 décembre 2023
Vernissage le samedi 18 novembre de 14 h à 19h
Conférence d’histoire de l’art
Peinture et jeu volumétrique, par Fabrice Nest
Jeudi 20 novembre 2023 à 19h
Pour Denis Arino, le tableau n’est pas seulement une surface aux couleurs joliment assemblées, c’est un objet dont l’épaisseur constitue à la fois le motif, la structure et la singularité. L’épaisseur en effet, partie peu visible, dicte toute la forme du tableau, de la largeur du motif au format. Elle entretient un rapport discret avec le chiffre trois et avec un carré de référence, visible ou non, de 99 cm de coté. Multipliée, divisée, cette mesure crée un rapport particulier au corps de l’observateur mais aussi à l’espace qui les contient et aux choses qui les entourent. Le tableau est par conséquent un rapport de connivence dont le motif commence sur la tranche et se répand d’un bout à l’autre du tableau sous la forme d’une Grecque à la manière de ces frises antiques qui courent sur les temples. La méthode est toujours la même: le tableau est d’abord recouvert d’une couleur uniforme puis des bandes discontinues (déduites de l’épaisseur bien sûr) viennent révéler sur ce fond initial, comme en négatif, la Grecque qui apparaît alors. Ainsi le fond devient forme, comme par magie. Les couleurs sont elles-mêmes dans un rapport de connivence, toujours deux, jamais plus, jamais moins. Denis Arino reprend inlassablement la même structure « pour voir comment elle se comporte sous tous rapports ». Il façonne avec humour et obstination une forme à la fois « expressive de l’invariant » (Le Corbusier) et réfractaire au concept. Certaines œuvres visent des causes momentanées, conformes au goût du jour, puis les jours passent et les goûts changent. À l’inverse, l’oeuvre de Denis Arino vise l’atemporel, n’engage pas la parole mais le corps. Elle a tout à voir avec le monde extérieur et rien à faire du mythe de l’intériorité. L’assemblage: un rapport entre le monde et nous.
Thierry Raspail
Crédit photo : Jean-Luc Lacroix
« En fouillant dans mes archives j’ai découvert un document que j’avais réalisé pour la Municipalité de Grenoble de l’époque, et dont le titre était : Un grand projet à vocation nationale et internationale à Grenoble pour les arts plastiques et la création contemporaine »
Ainsi commence un récit d’Hubert Gaillardot qui fut cadre à l’agence d’urbanisme de Grenoble.
Hubert Gaillardot va nous conter une étape méconnue de l’histoire de la création du Centre d’Art contemporain de Grenoble. Il fut un des participants à une réunion, il y a quarante ans (en janvier 1983) à laquelle participaient Jack Lang, ministre de la culture, Hubert Dubedout maire,… et Pierre Gaudibert, directeur du musée de peinture.
À deux mois des élections municipales de 1983, qu’est ce qui s’est discuté ?
Les Amis du Magasin vous convient à une rencontre
Samedi 25 novembre au Magasin
8 esplanade Andry-Farcy Grenoble
de 11h à 13h
Merci de vous inscrire auprès des Amis du Magasin :
Par téléphone, au 06 29 90 92 19
Par courriel : contact@amisdumagasin.com
Les Amis du Magasin poursuivront ce premier rendez vous d’autres moments qui ont jalonné l’histoire du Magasin avec la parole d’artistes, de techniciens, des publics du Magasin.
Les rendez vous des samedis apéritifs porteront également sur d’autres sujets avec différents invités.
Comme nous vous l’avions annoncé en mai, suite à la convention signée entre entre les Amis du CNAC / Le Magasin, et les Amis du musée de Grenoble, les amis du Magasin peuvent bénéficier du tarif adhérent sur les conférences du cycle « Art Contemporain » programmées dans l’auditorium du musée de Grenoble (8€ au lieu de 10€ à l’unité / 28€ au lieu de 40€ pour l’intégralité du cycle).
Voici un aperçu un peu plus détaillé de ce cycle de 4 conférences.
Vous pouvez retrouver sur le site des amis du Musée de Grenoble, l’intégralité du programme extrèmement riche et varié de cette saison : 47 conférences, organisées en cycles.
Mercredi 12 octobre 2022 à 19h
5 artistes, 5 provenances / 5 techniques – séance n°1
Guacolda (France), Armin Mersmann (U.S.A.), Kengo Kuma (Japon), Simon Beck (Grande-Bretagne), Refik Anadol (Turquie)
Conférence présentée par Gilbert Croué, historien de l’art
Le titre surprenant « 5/5/5 » illustre le projet : faire découvrir à chaque séance, 5 artistes, 5 techniques, 5 provenances géographiques. L’Art contemporain produit, de par le monde, des œuvres étonnantes, de grande qualité et dont nous pouvons prendre connaissance grâce à la mondialisation et à internet. Le monde est pluriel, les cultures sont des creusets inépuisables de récits et d’idées. Notre siècle, comme ceux qui l’ont précédé, propose des artistes originaux, inventifs, techniciens, prolixes, à découvrir. Il nous faut avoir une vue optimiste de notre temps, et pour cela, aller vers les découvertes. Connaître c’est s’ouvrir.
Mercredi 19 octobre 2022 à 19h, auditorium du musée de Grenoble
Damien Hirst, les vanités provocantes
par Damien Capelazzi, historien de l’art
À travers l’œuvre polémique et irrévérencieuse de Damien Hirst, nous voguerons vers une Angleterre digne et désinvolte en lutte contre l’académisme, armée des ironiques et poétiques défis de sa création actuelle. Une œuvre où la lumière et la mort se fréquentent… Clé incontournable de l’art contemporain.
Mercredi 9 novembre 2022 à 19h
5 artistes, 5 provenances, 5 techniques – séance n°2
Rune Guneriussen (Norvège), Kevin Peterson (U.S.A.), Yang Yongliang (Chine), Jason deCaires Taylor (Grande-Bretagne), Bernauld Smilde (Pays-Bas).
Conférence présentée par Gilbert Croué, historien de l’art
5 artistes, 5 techniques, 5 provenances, tel est le principe de cette seconde présentation. Les inspirations et les variations de traitement des sujets sont infinies. Si des artistes utilisent toujours les moyens classiques (dessin, peinture, photographie, sculpture), d’autres matériaux ou technologies informatiques offrent des champs nouveaux d’expression. Cette richesse culturelle peut ainsi nous ouvrir sur des mondes d’images et de formes inattendues.
Mercredi 18 janvier 2023 à 19h
Keith Haring , the radiant baby
par Damien Capelazzi, historien de l’art
Des détournements des publicités dans le métro de New York à l’art le plus sacré, cet amoureux de la culture la plus savante comme la plus populaire a été de toutes les causes, de tous les combats. Keith Haring, en renouvelant le graffiti urbain est l’enfant terrible des rues … Il est l’iconique radiant baby de New York !
Billetterie
• à la permanence des amis du Musée, 5 place Lavalette, 38000 Grenoble
lundi, mercredi, jeudi de 14h30 à 18h (hors vacances scolaires)
• 1/2 heure avant chaque conférence
CONVENTION DE PARTENARIAT pour la saison 2022/23
Suite à la rencontre du jeudi 7 avril 2022, il est convenu entre les Amis du CNAC / Le Magasin, représentés par Sylvie Berthemy, en qualité de présidente, et les Amis du musée de Grenoble, représentés par Hervé Storny, président et Naïma Sagna, chargée de projets et communication, une convention de partenariat, mise en œuvre pour la saison 2022/23, à compter de la date de la signature.
Les Amis du musée de Grenoble s’engagent à :
– appliquer le tarif adhérent Amis du musée aux adhérents des Amis du CNAC / Le Magasin sur les 5 conférences du cycle « Art Contemporain » programmées dans l’auditorium du musée de Grenoble (8€ au lieu de 10€ à l’unité / 35€ au lieu de 50€ pour l’intégralité du cycle), dont vous trouverez ci dessous le programme.
– transmettre les supports de communication (visuels affiches, descriptif conférences …) à Sylvie Berthemy, présidente des Amis du CNAC / Le Magasin, dès le printemps 2022
– mentionner le partenariat dans leur brochure de saison 2022/23
– relayer des actualités des Amis du CNAC / Le Magasin (discours avant conférence, lettre d’information mensuelle …
Les Amis du CNAC / Le Magasin s’engagent à :
– communiquer sur le cycle « Art contemporain » auprès de son réseau et de ses adhérents, en mentionnant ce partenariat
– proposer une visite du CNAC / Le Magasin dans le cadre de la saison 2022/23
Programme du cycle Art contemporain :
- mercredi 12 octobre 2022 à 19h
5 artistes, 5 provenances / 5 techniques, séance 1 :
Guacolda (France), Armin Mersmann (U.S.A.), Kengo Kuma (Japon), Simon Beck (Grande-Bretagne), Refik Anadol (Turquie)
par Gilbert Croué, historien de l’art
- mercredi 19 octobre 2022 à 19h
Damien Hirst, les vanités provocantes
par Damien Capelazzi, historien de l’art
- mercredi 9 novembre 2022 à 19h
5 artistes, 5 provenances / 5 techniques, séance 2 :
Rune Guneriussen (Norvège), Kevin Peterson (U.S.A.), Yang Yongliang (Chine), Jason deCaires Taylor (Grande-Bretagne), Bernauld Smilde (Pays-Bas)
par Gilbert Croué, historien de l’art
- mercredi 18 janvier 2023 à 19h
Keith Haring, the radiant baby
par Damien Capelazzi, historien de l’art
- lundi 13 mars 2023 à 19h
Anna-Eva Bergman*
par Thomas Schlesser
*en écho à la rétrospective prévue à la National Gallery d’Oslo en 2023/2024
CONFÉRENCE D’EXCEPTION 2017 : RENCONTRE AVEC JULIEN PRÉVIEUX
En partant du livre Statactivisme qu’il a co-dirigé avec Isabelle Bruno et Emmanuel Didier, Julien Prévieux présente lors de cette conférence une sélection de travaux récents particulièrement exemplaires de ses processus de recherche, de mise en forme et en action.
À propos de Julien Prévieux
Diplômé de l’École supérieure d’art de Grenoble, Julien Prévieux interroge dans ses œuvres les mondes du travail, de l’économie, de la politique en jouant avec les dispositifs de contrôle, les technologies de pointe et les théories du management. Son travail a été récemment présenté à la Blackwood Gallery à Toronto, à la Mullae Art Factory à Séoul, au RISD Museum of Art de Providence, au Centre Pompidou à Paris, à la Kunsthalle de Vienne ou encore à la Haus der Kulturen der Welt à Berlin. Il a reçu le Prix Marcel Duchamp en 2014.
En savoir plus sur les travaux de Julien Prévieux.
Inscription
L’inscription à la conférence est gratuite mais obligatoire.
S’inscrire en ligne
LOCALISATION
Amphi 1 – Bâtiment Z Stendhal – 1180, avenue Centrale
Tram B ou C, arrêt « Bibliothèques universitaires ».
En partenariat avec la librairie Le Square, le Centre du graphisme a invité pour cette première conférence Michael Lucken, un des spécialistes français de l’histoire et de l’art japonais.
Directeur du Centre d’Etudes Japonaises, professeur d’histoire et d’histoire de l’art du Japon à l’INALCO, il est auteur de plusieurs ouvrages dont le dernier « Japon: l’archipel du sens » paru en 2016 aux Editions Perrin.
Cette conférence est proposée en lien avec l’exposition « I love Japan : graphisme et modernité » à voir jusqu’au 31 mars 2017.
INFO UTILE
Conférence: « Les conférences du Jeudi »
Lieu: Centre du graphisme – 1 Place de la Libération – 38130 ECHIROLLES
Date: Jeudi 02 Mars à partir de 19h00