Mathias Poisson, Graphies du déplacement
Deuxième volet, du 7 au 31 mars 2018
Dans le cadre de Paysage>Paysages, sur une proposition de Laboratoire
Mathias Poisson » Quartier de peine Marseille », 2003, aquarelle et stylo bic, 15 x 21 cm. Collection Frac Provence Alpes Côtes d’azure,
Exposition en deux temps :
- du 7 décembre au 2 mars : Choix d’oeuvres de Mathias Poisson autour de la cartographie subjective.
- du 7 au 31 mars : Exposition de cartes récentes réalisées en Isère.
Vernissage le 7 mars à 18h30
Mathias Poisson est un artiste Français, né à Nîmes en1978. Ses recherches artistiques s’articulent autour de la notion de promenade urbaine.
Son exposition Graphies du déplacement, est un projet qui prend comme terrain d’expérimentation le mouvement du corps situé dans son environnement. L’artiste explore des zones et des quartiers, seul ou en groupe, il rencontre des personnes qui habitent les paysages, propose des expériences in situ. Pendant ses déambulations, il prends note, il dessine, parfois, il photographie ou il cueille des plantes sauvages pour fabriquer ses propres encres.
Ses « cartes subjectives » sont le résultat d’impressions ressenties pendant une marche. Il invente des langages graphiques pour traduire ce qu’il lui en reste, en acceptant les déformations et les interprétations de son esprit. Après une marche, de retour dans son atelier, il laisse sa mémoire reconstruire son trajet.
Au Vog, l’exposition se déroulera en deux temps. Pour le premier, du 7 décembre au 2 mars, l’artiste proposera une sélection de ses travaux antérieurs autour de cartographies subjectives de villes françaises et étrangères.
La deuxième phase de l’exposition, visible du 7 au 31 mars, permettra de découvrir les cartes réalisées en Isère à l’invitation de Paysage>paysages, notamment lors de sa résidence à Fontaine.
Biennale d’Art Contemporain
Autun, du 7 juillet au 26 août 2018
Vernissage le 6 juillet à 17h
ARTAUTUN#2018_Teaser from Art Autun on Vimeo.
À Autun, ville d’Art et d’Histoire, une première biennale internationale d’art contemporain organisée par l’association Art Autun, en étroite coopération avec la municipalité, le musée Rolin (classé musée de France), ouvrira ses portes cet été du 7 juillet au 26 août.
L’événement est à la mesure de la longue Histoire qui réunit les Flandres et la Bourgogne. En 1435, l’Autunois Nicolas Rolin, commande un tableau à Jan Van Eyck, « Le peintre » Flamand de l’époque. Naitra ainsi, la célèbre « Vierge du chancelier Rolin » désormais conservée au Louvre.
Les peintres, Reniere&Depla, couple d’artistes Flamands, amoureux d’Autun et de son patrimoine, sont les instigateurs et les commissaires de l’exposition. Ils souhaitent ainsi mettre en lumière le fil historique qui relie les anciens Pays bas, les Flandres, la Bourgogne et témoigner de l’importance des interactions, des migrations culturelles et artistiques qui bravent les régimes politiques et le temps.
« Ce qui pèse et ce qui nourrit » (Le Verger). Ces mots de Rainer Maria Rilke, nous apportent les clés d’un monde où l’histoire, la culture, la terre, pèsent sur notre quotidien mais nous donnent l’impulsion vitale pour avancer encore, pour chercher les autres, l’autre dans ce qu’il a de plus nourrissant.
Art Autun présentera via cette biennale d’été, des œuvres figuratives d’artistes contemporains, tous reliés à cet impressionnant métissage culturel, fruit d’un long cheminement d’art et d’histoire. Venues de Flandres, de France, les œuvres de ces peintres, plasticiens, sculpteurs, tous internationalement reconnus par leurs pairs et par le monde des arts, racontent un émouvant univers hors normes, montrent un chemin de traverse loin des modes et des préjugés. Délaissant les représentations conventionnelles du visible, ces œuvres recréent, réinventent au-travers de la sensibilité, du prisme personnel de chaque artiste, sa propre vision de la réalité.
22 Artistes
Hans Op De Beeck
Berlinde De Bruyckere
Jan Van Imschoot
Renato Nicolodi
Sofie Muller
Quinten Ingelaere
Stefan Peters
Maaike Leyn
Steven Peters Carabello
Peter De Koninck
Gerald Petit
Reniere&Depla
Elly Strik
Marcel Van Eeden
Tamara Van San
Carole Vanderlinden
Yves Velter
Tinus Vermeersch
Filip Vervaet
Sarah Westphal
Léon Spilliaert
Godfried Vervisch
3 Lieux
Musée Rolin
Musée Lapidaire
Hôpital Saint Gabriel
Chers Amis,
Permettez-moi de vous transmettre tous mes Vœux de Bonne Année par cette modeste image « de mon cru ».
Nous avons vécu une année 2017 bien particulière, de mise en route d’une nouvelle façon d’animer un centre d’art.
Beaucoup ont été décontenancés et le sont encore, face à cette nouvelle programmation.
Ne nous laissons pas aller à un repli frileux sur nos expériences passées qui, comme chacun le pense, « sont toujours mieux ».
Contribuons à assurer le succès des initiatives du Magasin des horizons et à donner un avenir au CNAC.
De nouvelles aventures nous attendent qui devraient exciter notre curiosité et qui je l ‘espère atteindront ce but.
En attendant, je voudrais partager avec vous ces 2 articles sur l’artiste autrichienne Valie Export, enfin « exhumée » par la galerie Thaddaeus Ropac (Pantin) et qui me semble particulièrement intéressante.
- Valie Export, une femme d’action s’expose
Article de M, magazine du Monde du 11/1/2018 - Valie Export : images et espace du corps
Article de AWARE (Archives of Women Artists Research and Exhibitions) du 6 novembre 2017
Je vous signale aussi la belle exposition de Clément Bagot à l’ESAD-Grenoble (10 janvier au 9 février) qui organise aussi celle de l’ancien musée, intitulée « Slalom » (20 janvier au 18 février). Plus d’infos…
Bonne Année à tous et courage pour la suite, seule la curiosité permet l’inattendu, le dérangement, le moment magique, et alimente le récit d’une vie.
Sylvie Berthemy
Présidente
ADRIEN M & CLAIRE B
Du mercredi 6 au vendredi 22 décembre 2017
CRÉATION Exposition / Arts visuels
Un rendez-vous des Unions de Quartier de la Métropole
Afin de promouvoir la création artistique dans notre Métropole, la commission Animation et Culture réunissant le CLUQ (Comité de Liaison des Unions de Quartier) et LAHGGLO (Les Associations d’Habitants du Grand Grenoble), organise une grande exposition à l’ancien Musée de peinture-Bibliothèque de Grenoble, place de Verdun, avec le soutien de la Municipalité.
Cette exposition se déroulera du 6 au 17 décembre 2017,
autour du thème « Irrévérence »
Les Unions de Quartiers invitent cinq artistes connus et reconnus de notre Métropole, qui exposeront dans la salle Matisse : Johann Rivat, Petite Poissone, Vincent Gontier, Samuel Rousseau et Hamid Debarrah.
Ces artistes ont généreusement accepté de « parrainer » l’exposition et de créer une ou plusieurs œuvres originales, faisant ainsi office de « phare » artistique.
Dans la grande salle de la Bibliothèque, une trentaine d’artistes grenoblois, sélectionnés parmi 150, amateurs et professionnels présenteront leurs œuvres.
Plusieurs prix seront décernés à la suite de l’exposition, notamment par le public et le jury : « palmes de l’émergence ».
IRRÉVÉRENCE
L’art contemporain s’affirme dans la déconstruction des règles, des formes, des styles et des critères mêmes de l’art. Quelles que soient ses expressions, il est en cela irrévérencieux.
Irrévérence : cela implique irrespect, provocation, transgression, ironie, toutes les formes d’esprit de distance et de liberté. Certes, l’art moderne, depuis la fin du 19ème siècle, s’est construit autour de l’irrévérence envers la tradition et les œuvres du passé séculaire. Mais un palier supplémentaire est maintenant franchi : c’est en effet vis-à-vis des avant-gardes elles-mêmes que nous attendons de l’irrévérence. Tout désormais appelle à l’irrévérence, plus rien n’y échappe avec pour résultat des formes hétéroclites, des styles extrêmement disparates : retour à la tradition, kitsch, installations, performances, néo-abstraction, œuvres conceptuelles. A présent, ce qui fait la valeur des œuvres ce n’est plus une école nouvelle, ce n’est plus l’ambition de représenter l’ultime phase de l’histoire de l’art. C’est l’irrévérence.
Dans cette époque où l’idée de direction « historiquement correcte » de l’art ne veut plus rien dire, où l’on ne recherche plus, à l’instar des grandes avant-gardes historiques, l’essence de l’art, c’est l’irrévérence sous toutes ses formes qui fait sens, continue de nous parler, de nous stimuler et parfois, de nous faire rêver.
Irrévérence, le terme ne va pas sans une connotation d’esprit et de culture, un parfum d’élégance, un brin de légèreté ironique à l’égard des formes instituées. Mais s’il y a de l’irrespect dans l’irrévérence, c’est un irrespect contrôlé, maîtrisé, artiste, non l’irrespect vulgaire, barbare, méprisant du « n’importe quoi ». Point donc d’appel à la table rase, à la négation radicale de l’héritage culturel : dans l’irrévérence un lien de sens subsiste avec le passé : simplement il faut en jouer librement, absolument, prendre de la distance avec celui-ci en vue de l’invention d’un avenir ouvert.
Dans une époque devenue pluraliste, relativiste, il n’y a pas à donner une signification stricte au terme d’irrévérence. Pas de manifeste, pas de règles contraignantes : carte blanche aux artistes dès lors qu’ils marquent un écart, un pas de côté créatifs et irrévérencieux. Ne croyant plus à une philosophie de l’art qui irait dans un sens déterminé, il nous reste l’irrévérence comme moteur, phare, idéal de la création.
Exposition du 12 octobre au 14 novembre 2017
Diplômée de l’ESAD de Grenoble, Alice Assouline excelle dans différents médiums.
Tour à tour, peintre, dessinatrice ou performeuse, elle invite le visiteur à plonger dans des univers déconcertants mais aussi décalés en se nourrissant de récits qui l’ont marquée.
Elle dit de son travail pictural « qu’il s’inspire des paysages et légendes. Elle part de la réalité pour aller vers l’onirisme. Dans certaines peintures apparaissent quelques enfants. Ils sont comme la présence de ce monde imaginaire qui anime son travail. »
Plus d’infos…
Le monde dans lequel nous vivons évolue en permanence et nous conduit naturellement à le repenser, sans cesse.
Cela passe par une nouvelle manière d’appréhender les relations humaines, le rapport que nous entretenons au quotidien, la façon que nous avons de voir les choses et objets autour de nous, mais aussi celle dont se laisse aujourd’hui capter ce qui nous entoure.
De tout temps il nous a été donné à voir une retranscription de la réalité de part des tableaux, des photographies, des gravures, des reproductions plus ou moins similaires, fidèles, de notre environnement, de ce qui fait le monde dans lequel nous vivons. Paysages urbains, montagnards ou campagnards, marines… Tout ce qui fait l’essence même de notre monde est sujet à copie.
L’évolution des moyens techniques à notre disposition, mais aussi l’évolution des modes de pensées, rend aujourd’hui envisageable une façon de retranscrire ce que nous voyons de manière totalement différente, si tel est le souhait, se détachant ainsi d’une forme picturale ou photographique au sens classique.
Cela nous permet alors d’utiliser les codes du passé afin de donner à voir notre présent ou encore dévoiler un futur imaginé et bien souvent imaginaire. Nous pouvons nous demander où se situe alors la frontière entre images fictives et réalité(s) dans la représentation des paysages aujourd’hui mais aussi sur ce que nous pouvons considérer comme étant un paysage.
Stories from nowhere nous dévoile alors plusieurs perceptions de ce paysage qui nous entoure, nous questionnant sur notre rapport au monde et sur notre manière de le percevoir et de jouer avec ses codes. D’un paysage fanstasmé à un paysage construit en passant par un paysage recomposé, détourné, nous partons d’une réalité pour en découvrir une autre, sous-jacente à notre imaginaire, mais qui reste une source d’amusement tant les points de vues sont multiples.
Le paysage étant en constante évolution, sur tous ses plans (panorama, géopolitique, sonore, territorial…) il n’en reste pas moins une source artistique forte tant ses représentations peuvent en être multiples.
Ici, Alain Bublex, Emilie Brout & Maxime Marion, Aï Kitahara, Eva Medin et Géraud Soulhiol nous donnent à voir leurs propres visions de ce que peut être ce paysage.
Au travers de se que crée notre regard, nous dévoilant différentes représentations faussement fidèles de notre réalite pour le premier, ou encore en induisant le numérique pour les suivants, où se plaisent à se mélanger leurs propres visions du réel avec la réalité elle-même. Pour Aï Kitahara naît une vision géopolitique qui questionne alors la représentation même de nos états en tant que territoires, alors que chez Eva Medin le paysage s’appréhende à la manière de l’espace, renvoyant à des codes urbains, se voulant ludiques autant que critiques et décalés. Alors que pour Géraud Soulhiol la question de la représentation des «territoires fantasmés» prend une place prépondérante dans la série donnée à voir au Cab.
Plus d’infos…
Troisième salle d’attente réalisée par Entre-Deux à l’agence Caisse d’Epargne Masséna
Vernissage le vendredi 20 octobre à partir de 18h30
ENTRE I DEUX s’infiltre dans la salle d’attente de l’agence Caisse d’Épargne Masséna pour susciter l’inattendu, la curiosité et l’échange. « La grande illusion » vous invite à plonger dans l’univers du faux-décor et de l’illusionnisme
Artistes : David Ancelin, Nicolas Desplats, Julie Kieffer, Ludovic Lignon, Pascal Pinaud, Jean-Philippe Roubaud, Xavier Theunis.
Commissaires d’exposition : ENTRE I DEUX ; Rébecca François & Lélia Mori.
ENTRE I DEUX se définit comme un programme d’expositions et d’événements mené entre deux commissaires d’expositions.
Rebecca François : historienne de l’art, diplômée d’une Maîtrise d’histoire de l’art contemporain sur « La scène artistique niçoise de 1990 à 2006 ». Elle participe depuis 2008, en qualité d’Attachée de conservation du patrimoine, à l’organisation des expositions du MAMAC de Nice. Elle est également critique d’art et auteure de nombreux textes.
&
Lélia Decourt : historienne de l’art, diplômée d’un Master Arts, Lettres, Langues et Civilisations, spécialité Asie et Océanie. Depuis 2010, responsable du service de la médiation culturelle au MAMAC de Nice. Elle est également enseignante vacataire à l’université Nice Sophia-Antipolis, en art moderne.
Le projet s’attache à des espaces non dévolus à la présentation d’œuvres d’art en vue de créer des interstices dans le quotidien avec la complicité des artistes de différentes générations, reconnus ou émergents, travaillant dans la région de Nice, Paris et Marseille.
À l’écoute des sculptures urbaines
Vincent Gontier & Manuel Laversanne
Invitation aux ateliers – Adultes
25, 26, 27 octobre, et 2, 3 novembre, de14h à17h.
Vincent Gontier vous guide !
Le papier journal soigneusement préparé, est plié, façonné. Il devient, objet, boite, bâtiment, sculpture. L’ espace de la ville naît petit à petit, sous vos doigts Devenez acteurs de ce paysage en construction.
L’inscription se fait par téléphone ou directement auprès de la Maison des habitants Prémol.
- Installation de la résidence : du 3 au 17 octobre 2017
- Accueil scolaires : visites de l’exposition jeudi 9 et 16 novembre 13h30 – 18h
- Goûter famille : jeudi 16 novembre 16h pour fêter la fin de la résidence
- Porte-ouverte de la résidence à tous les habitants de 13h30 à 18h :
25, 26, 27 octobre et 2, 3, 8, 9, 15, 16 novembre
Anciens locaux de la bibliothèque Prémol,
7 rue Henri Duhamel
38100 Grenoble
Moly-Sabata est une résidence d’artistes située à Sablons en France. Elle est aujourd’hui propriété de la Fondation Albert Gleizes. En 2017, Moly-Sabata fête ses 90 ans. Elle est la plus ancienne résidence d’artistes de France en activité.
Elle met à disposition ses ateliers et ses ressources toute l’année. Elle se distingue par la diversité de ses modalités d’accueil, son action au cœur d’un réseau régional de partenaires institutionnels et ses initiatives en faveur de la production d’oeuvres grâce à des financements spécifiques. Son rayonnement public est alimenté par une exposition annuelle tout en perpétuant une tradition de transmission ancrée depuis 1927 dans ce lieu d’hospitalité, propriété de la Fondation Albert Gleizes.
Les artistes ne sont pas les seuls à profiter de l’hospitalité de Moly-Sabata. Depuis 90 ans, la résidence reçoit des hôtes de passage, en particulier des professionnels étrangers de l’art contemporain. Pour perpétrer cette tradition et initier de nouveaux projets, elle vient d’accueillir Karina Kattová et Tereza Jindrová de la Jindřich Chalupecký Society de Prague ainsi que l’historien australien Bruce Adams, biographe d’Anne Dangar. Des collaborations avec la Lituanie, le Canada, l’Ecosse et le Portugal, visant à faire circuler artistes étrangers et français, se mettent en place en partenariat avec les structures de la Région. Petit à petit, Moly-Sabata s’installe dans un réseau international.
Actuellement à Moly-Sabata
Tom Castinel
L’artiste est accueilli en juin 2017 en partenariat avec la Ville de Valence. Son exposition La vallée dérangeante conçue avec Octave Rimbert-Rivière est présentée du 28 juin au 17 septembre 2017.
Vernissage le mercredi 28 juin 2017 à 18h30 à La bourse du travail à Valence.
L’artiste est accueilli en juin 2017 en partenariat avec la Ville de Valence. Son exposition La vallée dérangeante conçue avec Tom Castinel est présentée du 28 juin au 17 septembre 2017.
Vernissage le mercredi 28 juin 2017 à 18h30 à La bourse du travail à Valence.
L’artiste dirige le Stage de peinture White Spirit Flash Club les 10 et 11 juin 2017. Cette séance est complète.
L’artiste a été accueillie en mai 2017 en partenariat avec Code South Way. La restitution de sa résidence d’écriture sera publiée dans le numéro 4 du magazine, à paraître au second semestre 2017.-
Moly-Sabata vous donne rendez-vous
• les samedi 10 et dimanche 11 juin 2017 de 10h à 18h sur inscription à Moly-Sabata
Peindre avec Amélie Bertrand
« Le White Spirit Flash Club tentera de proposer une réflexion sur la mise en place d’un processus de création à travers le médium de la peinture. On s’intéressera au décor et à la surface, au simili et au simulacre, à la création d’un paysage ou d’une architecture intérieure ou extérieure fictive mais crédible, un arrière-goût bizarre de déjà vu, tout en écoutant de la musique d’ameublement, d’aéroport (Brian Eno), ou d’ascenseur. Je ne veux pas de paysages idéaux inspirés par la nature. Le décor, c’est cette chose qui n’est pas vraiment ce qu’elle semble être, entre le plaqué et le cache misère, qui advient comme un parasite, toujours en trop, en plus. C’est en même temps ce que l’on ne peut pas voir. La notion décor met en place un autre terrain d’activité, l’architecture y devient perverse et la séduction immédiate. On s’interrogera sur la composition picturale, à travers différent processus de mise à distance. On utilisera le pochoir, le dégradé, les aplats… »
• jusqu’au samedi 17 juin 2017 à La galerie d’exposition du théâtre de Privas
exposition De l’impermanence d’Aline Morvan
L’artiste a été accueillie en février et mars 2017 en partenariat avec le centre d’art.
• jusqu’au dimanche 18 juin 2017 au Cab – Centre d’art bastille à Grenoble
exposition Effet de seuil de Chloé Jarry
L’artiste a été accueillie de janvier à mars 2017 en partenariat avec le centre d’art.
• le mercredi 28 juin 2017 à 18h30 à La bourse du travail à Valence
vernissage de l’exposition La vallée dérangeante de Tom Castinel & Octave Rimbert-Rivière
Les artistes sont accueillis en juin 2017 en partenariat avec la Ville de Valence.
et prochainement les résidences de Charlotte Denamur, Caroline Achaintre, Romain Vicari et Josephine Halvorson.
Plus d’infos :